Dans la société moderne, la séparation d’un couple est un phénomène que nous rencontrions souvent dans la vie. Dans certains pays, le nombre de divorces augmente de manière exponentielle chaque année. Mais n’oubliez pas que le divorce n’est pas une procédure gratuite. En effet, son coût nécessite la prise en compte de nombreux critères.
La détermination des frais de divorce
Il est important de savoir que si vous souhaitez calculer les frais de votre divorce comme sur trouver-un-avocat.fr, la considération de nombreux paramètres est de mise par exemple :
- La rémunération de l’avocat : la plus grande partie du coût de la procédure de divorce est constituée par les honoraires de l’avocat. En principe, le montant des honoraires d’avocat dépend de la difficulté de l’affaire, de sa ville d’exercice, de la notoriété de l’avocat, et autres.
- La forme de divorce choisie par le couple : pour le divorce par consentement mutuel, le coût se situe environ à 600 euros parce qu’il n’y a pas de mésentente entre les parties, le patrimoine à liquider est moindre et surtout les conjoints peuvent opter pour le même avocat. Donc, ce dernier propose généralement un tarif forfaitaire. Quant au divorce contentieux, les désaccords entre les époux sont énormes, la liquidation du patrimoine devient complexe et la durée du traitement du dossier est très longue. De ce fait, il faut prévoir plusieurs milliers d’euros par conjoint.
- Les frais de notaire font partie aussi des dépenses des parties.
Souvent, le coût d’un divorce peut aller entre 600 à 6000 euros par époux. Mais, il faut noter que chaque divorce a leur propre spécificité donc, un prix distinct.
Le montant de la prestation compensatoire et la pension alimentaire
La première est une sorte d’indemnité versée à l’ex-conjoint dans le principal but de combler l’équilibre entre les ressources des ex-conjoints après la décision du divorce si une disparité financière est constatée par le juge. Donc, le conjoint qui a les plus grands revenus doit verser à l’autre époux une pension sous forme de capital. Dans la pratique, c’est le notaire qui rédige le rapport permettant de déterminer les différents paramètres à prendre en considération par le tribunal compétent afin de faciliter la fixation du montant par exemple, la durée du mariage, la situation professionnelle, l’âge et autres. Quant à la seconde c’est-à-dire le paiement de la pension alimentaire, il s’agit d’une somme versée au parent qui a la garde des enfants mineurs. En général, le montant est défini soit d’un commun accord, soit par le juge.
L’aide juridictionnelle dans un divorce
En ce moment, il est toujours possible de bénéficier d’une aide juridictionnelle, quelle que soit la procédure de divorce choisie par les conjoints. Il s’agit essentiellement d’une aide octroyée par l’État sous la demande des personnes qui ne possèdent pas les moyens financiers pour s’acquitter de leurs frais juridiques. Elle est conditionnée par les ressources du demandeur c’est-à-dire qu’il existe déjà un barème préétabli pour chaque catégorie de revenus. Sachez que l’aide juridictionnelle peut être totale, cela signifie une prise en charge à 100% par l’État ou partielle c’est-à-dire la prise en charge d’une partie des frais seulement. Notons que les deux conjoints peuvent demander cette aide et en bénéficier s’ils remplissent les conditions requises.